14 novembre 2010
Un instant de velours
Temps
puissant, temps pressant, ce sont ces secondes qui défilent à la
vitesse des microsecondes, pour se déverser vers l'inutile imparfait de
toute vérité. Souffle rageur des quiétudes incertaines, les vents divins
pousse mes ailes vers de nouveaux horizons perdus, où sommeille cette
belle du bois chantant. Les étoiles crépitent d'impatience, moi je touche la perfection de mes petites mains.
Toi
petite princesse, celle qui a le regard si triste, les yeux délavés par
les bruine automnales ont fait de ce si beau visage de porcelaine, une
lune terne. Tes larmes se sont estompées et des mains moins agiles
tiennent mal entre leurs doigts, ce petit mouchoir que je t'avais offert.
Il flotte dans l'air, une solitude pesante et amère qui ne donne que
l'écho de ta tristesse. Et pourtant je ne suis pas loin, juste de l'autre côté
de ce miroir, blotti contre mon fauteuil à t'attendre patiemment. Il est temps de franchir ce rubicon, viens petite princesse, le soleil est si radieux ici, et le temps s'est arrêté à tout jamais.
l'écho de ta tristesse. Et pourtant je ne suis pas loin, juste de l'autre côté
de ce miroir, blotti contre mon fauteuil à t'attendre patiemment. Il est temps de franchir ce rubicon, viens petite princesse, le soleil est si radieux ici, et le temps s'est arrêté à tout jamais.
Quelques gouttes tombent sur le sol des pas perdus, les corridors gris et prolonge sa peine, cherchant d'un dernier regard, cette lune qui décline.
Tout n'est qu'éphémère et si futile a nos vies. Silence et mépris se sont attroupés sous sa fenêtre. Il se fait tard et tu as si froid...(c) M.C. November Nerver Rain.
Tout n'est qu'éphémère et si futile a nos vies. Silence et mépris se sont attroupés sous sa fenêtre. Il se fait tard et tu as si froid...(c) M.C. November Nerver Rain.
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